Dans la boutique de manga prêt de chez moi qui avait avant, je trainais souvent là des heures vu que je connaissais bien la fille qui y travaillais et pour avoir parlé avec (et observé), je peux dire que dans la clientèle il avait pas mal de filles aussi et ça lisait du Yaoih en TABARNAK! C'était un de leur gros vendeur!
Pourtant, (et ce qui est drôle) c'est que l'histoire d'un Yuri (en général) est (doit être) plus profonde, car les gars ça montre pas trop leur émotions en général, donc ça doit pas bouger fort fort, alors que mets deux filles ensemble pis ça l'a toujours de quoi à jaser.
Là ou je veux en venir, c'est que dans un Yaoih, les gars doivent être effiminé (bref une fille dans un corps d'homme), ce qui n'est pas trop normal (oui, je sais, c'est un yaoih). Parcontre dans du Yuri les filles peuvent rester authentique sans à avoir être un gars dans un corps de fille. Tu as la tomboy, mais ça c'est quelque chose qui est considéré normal sans pour autant être lesbienne.
Prennons Girls friends, tu as Mari qui est la fille typique un peu gêné et tu as Akko qui es la fille qui parait plus sûr d'elle (elle pourrait être considéré comme le gars), mais même là, elle n'est pas tomb boy, c'est plus son attidude de meneuse sûr d'elle qui nous inciterait à dire ça en la comparant à Mari.
L'autre aspect frappant dans le Yaoih est le style de dessin effiminisé que l'on retrouve souvent, crime on as pas cette équivalent là sur du Yuri, pas sûr que ce soit une bonne idéée de masculiniser l'apparence des dessins de Yuri anyway.

Je ne suis pas un expert en yaoih, mais côté dessins, je crois que c'est une sorte de dérivé du style Shoujo de l'époque qui à "évolué" pour en arriver à ce standart.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Parlant de style de dessin manga, vous l'avez sûrement remarqué, mais comme pour les vêtements il semble avoir une sorte de phénomène de mode. On est passé du style old cartoon (Astroboy, Ashita no Joe, Goldorak) au style année 80-90 (GTO, Golden Boy, Dirty Pair), pour en arriver au moe (K-ON, To Love-Ru, Oreimo). Bien sûr, il à des exeption et parfois des style plus vieux qui reviennent de temps à autre et parfois remis au gout du jour, mais il semble avoir cette tendance général qui suit au travers des générations.
Un peu comme pour la mode vestimentaires et autres habitudes qui semble marcher par vagues on en viens souvent à ce demander que'est-ce qui déclanche tout à coup tel mode. Souvent les gens sont conditionné dès leur plus jeunes âges car en bas âge on a un cerveau pratique vierge qui ne demande qu'à se faire remplir et à notre époque ayant la télévision qui est l'outil idéeal pour nous condionner (vu qu'il n'a pas d'anti spam et cie), ben tout jeune en voyant nos acteurs ou groupe de musique préféré on a tendance à vouloir les immiter. Pis back in the day, il n'avait pas autant de postes de TV, donc c'est pourquoi on a pas mal tous écouter les mêmes trucs.
Mais là on ne parle pas de vêtement, de coupe de cheveux ou de cigarettes et en plus il s'agit d'une culture avec une mentalité tout à fait différente de la notre qui se cherche encore une identité. Mais il est évident que les gros anime qui ont pogner y ont été pour quelque chose. Bon il se fait tard et j'ai probablement sorti ça tout croche, mais ce n'est pas pcq je ne me suis pas couché, c'est que je me suis réveillé en pleine nuit avec un nez qui arrête pas de couler et qui semble être un début de petite (espérons-le) grippe, mais bon, j'ai un bon système immunitaire et je guérri généralement très vite durant les rares fois que j'attrappe de quoi.
Mais bon pour finir et revenir à "Kuroko baisse-kékette" que Wild avait mentionné (Kuroko no Basket).

Je trouve c'est de passer de l'excellant Slam Dunk à ça (Kuroko no Basket), à été un excellant moyen d'enlever toute la virilité de ce sport, juste pour attirer un publique féminin. Le pire c'est que je vois souvent cette anime dans des tops. Pourtant je connais des filles qui ont lu Slam Dunk et apprécier et on su trouver leur compte avec Rukawa. Pour avoir vu les deux anime (et lu Slam Dunk), Slam Dunk est encore et toujours l'anime/manga #1 sur le basket et KnB à encore ben des croutes à manger pour ne serait-ce lui arriver à la cheville, surtout avec la saison #3 qui donne l'impression d'écouter un mélange de basketball, de Naruto (pour ses jutsu-skill abusif) et de Yaoih. 3 choses qui ne vont définitivement pas ensemble pour un anime qui semble vouloir se prendre au sérieux. Bon désole d'avoir passé du coq à l'âne, alors qu'on est l'année du coq (et non du cock), mais il fallait que ça sorte, car depuis tout à l'heure, tout se qui sorte ici c'est de la morve que je mouche!